Scotchés H24 que nous sommes à nos smartphones, pads, télés, Facebook, Twitter, FranceInfo and co, nous devrions nous déconnecter de temps en temps. Regarder notre histoire à distance pour replacer notre histoire dans celle du monde, de ses soubresauts, des empires, de la pensée, la culture, l’économie. Lyon avec ses deux millénaires d’existence empile dans ses quartiers du Vieux Lyon, de la Presqu’Île et de l’autre côté du Rhône toute cette histoire. Depuis 1807, la Société d’Histoire de Lyonse consacre à étudier et raconter cette histoire de Lyon.
Pourquoi vous parler dans ce blog de cette « vénérable » Société d’histoire ? Parce qu’elle propose de pointues, donc passionnantes, conférences, une fois par mois. Par exemple, ce 20 février, « Le parrainage à Lyon », ce qui à l’heure du solidaire a du sens. Le 20 mars, elle portera sur « L’autel des églises de l’ancien diocèse de Lyon au Moyen Âge », qui permettra certainement d’appréhender le rôle de la religion dans la société d’alors. Le 16 octobre sur « Le premier opéra de Lyon entre 1687 et 1725 ».
Passionnant retour du festival Septembre de la Photographie de Lyon,
du 10 septembre au 15 octobre 2016
Il n’avait pas eu lieu depuis 2012 ! L’occasion de nous délecter et nous remplir de photos, en guise d’avant-goût d’un festival plus construit en 2017.
Cette année pas de thème général, seulement des rencontres et des expositions au gré des choix des lieux. Ils sont 13 dans la ville, des galeries bien sûr et des écoles : L’Abat-Jour, L’ Alcôve, galerie Françoise Besson, La BF 15, Le Bleu du Ciel, BLOO galerie, La galerie Elizabeth Couturier, L’Atelier item, La galerie Regard Sud, La Sucrière, Vrais Rêves ainsi que la Bibliothèque Municipale et l’École Normale Supérieure de Lyon.
Un petit bijou ! Le guide trimestriel des expos photos de Lyon proposé depuis 2 ou 3 ans par les galeries de Lyon est un petit bijou. Véritablement, un petit bijou car impossible de trouver ailleurs une recension de toutes les expos photos à se mettre sous la dent à Lyon. Il offre de plus une bonne vision des galeries et lieux dynamiques de la ville en matière de photos (et ça bouge chez les jeunes). Le n°8 vient de sortir.
En papier, on le trouve évidemment dans ces galeries, mais aussi à la MAPRA, la maison régionale d’info sur les arts plastiques, vers la place des Terreaux (en-dessous du Crédit Agricole).
En numérique, il est à télécharger sur le site d’une des galeries photos emblématiques de Lyon, de réputation nationale, située sur Les pentes : Le Réverbère, qui expose, a exposé moult artistes tels qu’entre autres Alain Fleischer, Emmanuelle Fructus, Rip Hopkins, William Klein, Géraldine Lay, Bernard Plossu, Denis Roche, Xiao Zhang.
Samedi soir, 13 août 2016, sur les pentes de la Croix-Rousse, après une couillue prestation de Festen au Péristyle de l’Opéra (concerts jazz de fin juin à début septembre au pied de l’Opéra), on entendait la stridulation de…
CIGALES !
Des cigales à Lyon !
Au secours Jean de la Fontaine !
Au secours la fourmi !
Des cigales, oui ! En l’occurrence, au Jardin des Plantes, au-dessus de la mairie du premier, à côté de l’amphithéâtre des Trois Gaules (Aquitaine, Celte et Belge), où l’on trouve une statue-hommage (très) méconnue à Michel Derrion et Joseph Reynier, créateurs d’une des premières épiceries coopératives, « Le commerce véridique et social » (plaque commémorative en bas à droite de la Montée de la Grande-Côte, voir notre itinéraire Croix-rousse), en 1835.
Réchauffement climatique. Les cigales ont colonisé Lyon. En cause, la hausse des températures et l’abandon des insecticides pour traiter les jardins publics.
La Provence remonte l’Europe… Lyon, Mâcon, Dijon, Paris, Charleville, Francfort, Berlin, Copenhague, Stockholm, Uppsala.
L’article détaille trois cigales :
Entre Rhône et Saône, on peut donc désormais observer la cigale rouge, la cigale grise, et la grande cigale plébéienne qui est la plus sonore. Depuis une trentaine d’années, comme l’observe l’Inra, le réchauffement climatique provoque une migration à la fois de la végétation et de la faune le long de la vallée du Rhône, avec l’arrivée d’espèces provençales jusqu’à Lyon.
La boucle est bouclée : trois gaules, trois cigales.
Mise à jour du 16 août : cigales repérées la nuit du 15 août dans l’arbre au coin du pont de l’Université face au virage du tramway.
On va rouler en robot à Lyon aussi ! Vous avez entendu parler des expérimentations de voitures sans pilotes en Californie par Google ? Le journal Lyon Capitale l’annonce aujourd’hui (24/7/2016) : deux véhicules automatiques — c’est-à-dire sans conducteur — de la société Navya seront mis en service à partir de septembre entre la pointe de Confluence et le centre commercial par la berge ouest, quai Rambaud. Ils passeront donc au pied des cubes orange et vert en bord de Saône. Beaucoup moins connu que Google mais beaucoup plus lyonnais, Navya est dirigée par Christophe Sapet, créateur d’Infogrames avec Bruno Bonnell, tous deux à fond dans la robotique depuis quelques années.
L’embarquement sera gratuit, la balade robotique durera 10 minutes…
Pas question de draguer le chauffeur comme dans les tramways à pinces qui débaroulent les collines de San Francisco.
Caractéristiques techniques des véhicules :
11 places assises et 4 debout
1 800 kg à vide, 3 000 en charge
2,02 m x 4,76 m x 2,47 Vitesse maximum : 45 km/h
Vitesse de croisière : 25 km/h
Pente maximale : 15 %
Durée de charge de la batterie : de 5 à 10 h
GPS temps réel, capteurs Lidars de cartographie 3D, caméras stéréovision, centrale inertielle.
Un essai par le journaliste Pierre Col de Zdnet, ici
Du jazz de qualité chaque soir en entrée libre, derrière l’Hôtel de Ville, au pied de l’Opéra, tout l’été de juin à septembre, en terrasse tout en étant à l’abri, et gratuitement… sauf le dimanche, seul jour de relâche du…
« Café-jazz » du Péristyle Opéra
du 9 juin au 3 septembre 2016
Le principe : 3 « sets » de 40mn chacun à 19h, 20h15 et 22h avec un groupe invité 3 soirs d’affilée. Tous les genres sont convoqués durant l’été, vocal, manouche, cool, classique, New Orleans, etc.
Écoutez un de nos préférés, le trio Vallognes/Téruel/Oukrid, ici :
Le lieu est magique, c’est le péristyle de l’Opéra (le tonneau, surnom que lui donnent les lyonnais), des petites tables, une scène au centre, habillé du fameux marbre noir choisi par Jean Nouvel pour rénover au début des années 90 l’ancien opéra italien de Lyon. Les soirs de chaleur, des coulis d’air frais venus du Rhône voisin se faufilent entre colonnes et notes… Magique, on vous dit ! Si vous n’aimez pas, on vous rembourse ! Ok, c’est gratuit…
Il y a de quoi boire local (bières du Pilat, Viognier, côtes du Rhône, de Mâcon) et boustifailler charcuteries et fromages en culpabilisant quant à sa ligne tout en écoutant cuivres, piano et percus.
Ce musée contient deux millions et demi d’œuvres, sur plus de quatre millénaires, les pièces les plus anciennes, très réputées, provenant dans l’Égypte antique de la nécropole d’Antinoé (une tunique remontant à la onzième dynastie), mais aussi de Chine, de Mésopotamie. Fondé en 1851 par les industriels lyonnais, peu satisfaits d’avoir été mal accueillis à l’Exposition Universelle de Londres, le musée a par la suite reçu des échantillons ramenés du monde entier par des missions commerciales ainsi que les collections de grandes maisons réputées. Après avoir été depuis sa fondation dans les murs de la Chambre de Commerce et d’Industrie, il est depuis 1945 installé au sud de la place Bellecour, entre Rhône et Saône, dans les deux immeubles de l’Hôtel Villeroy, recevant 80000 visiteurs par an, dont un tiers d’étrangers avec parmi eux nombre de visiteurs asiatiques.
Particularité unique : il est le seul musée national appartenant en France à une Chambre de Commerce et d’Industrie. Ce qui aujourd’hui explique ses difficultés puisque la CCI de Lyon voudrait s’en défaire, ne pouvant plus assurer les 1,7 millions d’euros qu’elle lui versait chaque année (sur un budget total de 2,7 millions), les réformes territoriales lui ayant fait perdre 40% de ses recettes fiscales. Autre singularité à relever quant à sa viabilité, il est le seul musée de la région s’autofinançant à une hauteur élevée, 45%, soit un million d’euros, les autres étant seulement entre 10 et 20%…
La toute nouvelle métropole ne souhaite pas reprendre seule le bébé, ayant déjà la charge notable depuis peu du coûteux musée Confluence, en plus du musée gallo-romain de Fourvière. La région fait aussi la sourde oreille. Le ministère de la Culture ne s’occupe pas non plus du dossier, alors qu’un rapprochement avec le Musée du Louvre qui ne possède pas de collection de tissus aurait du sens.
Le musée des Tissus, ainsi que le musée des arts décoratifs proche, mais aussi la « Tissuthèque » (500.000 photos utilisées par les créateurs pour leurs recherches d’antériorité), ses bibliothèques, ses archives, ses fonds historiques consultés par des chercheurs du monde entier risquent donc de fermer dans les prochains mois si aucune solution n’est trouvée.
La ligne de bus TCL n°30 qui desservait l’aéroport Saint-Exupéry depuis le 31 août 2015 sera fermée fin décembre. Elle est fusionnée avec la ligne 28 dont le terminus est à Pusignan, au nord de l’aéroport. Il était possible grâce à cette ligne 30 d’aller du centre de Lyon à l’aéroport pour le prix d’un ticket TCL, soit 1,80 euros.
Selon LyonMag, ce serait une demande du concessionnaire du Rhônexpress à la régie Sytral (TCL) de modifier ces lignes de bus pour faire respecter son contrat d’exclusivité.
À partir du 1er janvier 2016, les voyageurs n’auront plus que le choix entre leur véhicule personnel, le taxi, un Uber ou bien la desserte Rhônexpress dont le ticket aller simple coûte 14,60€.
Ce prix est l’un des plus élevés d’Europe. Le tramway T3 dont le tracé est commun avec Rhônepress jusqu’à Meyzieu, quelques kilomètres avant l’aéroport, est au prix de 1,80€. Les derniers kilomètres entre Meyzieu et l’aéroport coûtent donc plus de 12€.
Une fusion entre T3 et Rhônexpress serait la bienvenue plutôt qu’entre les bus 28 et 30.
Ernest Pignon-Ernest et Bruno Paccard à la galerie Pallade sur les pentes à Lyon. Une absolument passionnante exposition présentant des dessins et photographies de Ernest Pignon-Ernest et Bruno Paccard portant sur la prison Saint-Paul de Lyon avant sa démolition a lieu à la Galerie Anne-Marie et Roland Pallade, rue Burdeau, sur les Pentes de la Croix-Rousse, du 10 décembre au 23 janvier.
Une absolument passionnante exposition est annoncée à la Galerie Anne-Marie et Roland Pallade, rue Burdeau, sur les Pentes de la Croix-Rousse, du 10 décembre au 23 janvier. Elle présentera des dessins et photographies de Ernest Pignon-Ernest et Bruno Paccard portant sur la prison Saint-Paul de Lyon avant sa démolition.
Les deux artistes seront présents au vernissage le 10 décembre de 18h à 20h30.
Cours de la prison, Ernest Pignon-Ernest, 2012
Ernest Pignon-Ernest qui avait animé des ateliers peinture à la demande des prisonniers de Saint-Paul dans les années 90 est revenu sur les lieux de cette prison juste avant qu’elle ne soit démolie pour être remplacée par le campus de l’Université Catholique de Lyon. Il y a retrouvé quatre noms dont celui d’Émile Bertrand, « Tombés sous les balles nazies ». Il a retrouvé sa nièce qui lui a donné accès à des photos du résistant, qui avait en fait arrêté et guillotiné par la police et un bourreau français. Ernest Pignon-Ernest explique sa démarche :
Les prisons de Lyon ne sont pas des prisons ordinaires, Barbie y a sévi, Max Barel y est mort ébouillanté, Jean Moulin, Raymond Aubrac… de nombreux résistants y ont été emprisonnés, torturés. […] j’ai tenté d’y réinscrire par l’image le souvenir de certains, célèbres ou inconnus, qui y ont été incarcérés.
Prisons St Joseph, St Paul de Lyon — Photo Roland Paccard
Roland Paccard a lui fait des photos de ces prisons durant 30 ans. De nuit dans les années 90. Puis à la demande des Archives Municipales de Lyon à leur fermeture.
Une exposition à n’absolument pas rater.
Galerie Anne-Marie et Roland Pallade — 35, rue Burdeau 69001 Lyon — du 10 décembre 2015 au 23 janvier 2016
Voici notre sélection « coups de coeur » des animations de la fête des lumières 2010 que nous avons vu le 1er soir de la fête….. Sélection bien sûr totalement subjective ! A vous de donner la vôtre avec notre sondage ou vos commentaires.
Humour ! Légèreté ! Vivacité… On ne s’ennuie jamais, le spectacle évolue à toute vitesse avec plein d’idées qui lient le graphisme et l’histoire racontée (celle du chant) et de petites surprises délicieuses. Un bijou !
Coup de coeur n°1 ex æquo : Hôtel-Dieu
Grosse boule d’émotion se traduisant par un peu d’humidité sur le visage….. mais c’était peut-être la pluie qui arrivait. Ici aussi, le spectacle va très vite, enchaînant les périodes, les décors lumineux très simples à base de nappes d’ampoules ou de guirlandes, les jingles musicaux parlant de cette époque. Les suites pour violoncelle de Bach d’abord qui vous prennent au ventre. Puis une guinguette. Le chant des partisans. Du rock. Etc. C’est tellement bien que les gens dansent, certains s’assoient sous les arcades, on a envie de rester, j’ai vu le spectacle quatre fois de suite.
C’est la dernière fois que l’on voit l’Hôtel-Dieu dans cette configuration !…..
Bravo et merci au concepteur de toutes les animations qui nous ont enchantées les années passées et encore cette année : Monsieur Alain Benini. Espérons que vous aurez votre place dans l’édifice rénové pour nous donner encore de l’émotion.
Coup de coeur n°3 : Parc de la Tête d’Or
Feu. Odeurs de résine. Musique. Chants. Mobiles mécaniques. Voici un vélo oscillant sur d’un bout à l’autre d’un fil par une magie présente dans tout ce coin du parc. Voici des balançoires, des sièges, des bancs où l’on peut s’asseoir sous des coupelles où brûlent des flammes toutes folles. Voici des comédiens qui animent des montages de ferrailles qui vont vaciller, renaître le feu. Poésie, mysticisme, sensualité, onirisme…..
Coup de coeur n°4 : Jardin du Musée
Beauté classique. Sublime perfection des statues dévoilées dans la nuit. Ou voilées de résilles lumineuses. Les murs du cloître nappés d’un décor changeant de formes carrées à des écorces, des linéaments.
Il y a un peu d’attente dehors mais ça vaut le coup. Vers 23 heures, il y a moins de monde.
Quand on sort du jardin du Musée, on tombe pile en face de la fontaine Bartholdi sur la place des Terreaux….. normal, les deux fontaines se répondent, celle de la place et celle du cloître. Mais hélas, les vigiles à la sortie incitent à ne pas boucher le passage pour des raisons évidentes de sécurité et de bouchon. Dommage car c’est le plus beau point de vue pour regarder l’animation sur la fontaine Bartholdi.
Coup de coeur n°5 : Place de la République
Une animation audacieuse même si elle n’est pas allée au bout de l’idée sur laquelle elle repose. Il s’agit d’utiliser l’eau pulvérisée par les nombreux jets de la fontaine de la place pour créer des effets lumineux, un peu comme dans un arc-en-ciel. Selon l’endroit où l’on se place autour de la fontaine, on devine des formes différentes. Cette animation préfigure ce que l’on réussira peut-être à faire dans le futur en matière d’animations lumineuses mariées avec l’eau. Bravo pour la prise de risque !
Outsiders
Les élèves de l’ENSATT et de la FAIAR derrière la cathédrale
Ils ont joué le décor à fond. Odeur d’encens. Bougies dans toute la cour. Pénitents qui déambulent……. mais pénitents masqués comme à Venise….. on bascule dans le monde du théâtre. Le décor est tout bonnement magnifique avec la cathédrale tout autour, des ballons accrochés à des fils, ces flammes qui brûlent partout. Ce spectacle est certes plus difficile, plus exigeant et peu compatible avec la foule qui passe, mais avec un peu d’effort de concentration, on bascule dans un autre monde. La magie est plus ténue et plus fragile qu’au Parc de la Tête d’Or parce que l’on est tenu dehors, derrière des grilles, à distance. C’est la différence entre théâtre et arts de la rue. La prochaine fois, chers élèves des arts du théâtre et des arts de la rue, laissez-nous entrer.
Les éoliennes vers la Passerelle Saint-Vincent
Simples : trois pales avec de la lumière à l’intérieur. La magie fonctionne, sans doute parce qu’à la fois elles tournent, sont lumineuses, sont de forme pure et sont au bord du fleuve. Et il y a cette magie propre à l’éolienne. Bien trouvé ! Bravo.
Les tipis sur les berges du Rhône
Idem que les éoliennes : c’est très simple et cela marche, sans doute parce que ce sont des formes et des couleurs très simples. Cela plaira aux enfants les plus petits (certains ont peur dans le Parc de la Tête d’Or avec les animations à base de feu dans le noir).
A votre tour de donner vos coups de coeur, répondez à notre sondage :
SONDAGE N°1 : "Qu'avez-vous aimé pour cette fête des lumières 2010 ? Que souhaiteriez-vous pour 2011 ? (15 réponses maxi)"
Théâtre des Célestins - Anamorphoses (10%, 336 Votes)
Eglise Saint-Nizier - Voyage dans l'histoire (10%, 321 Votes)
Place des Terreaux - Les chevaux de la fontaine Bartholdi (8%, 256 Votes)
Autant voire plus d'animations sur les ponts, passerelles et berges ? (6%, 206 Votes)
Parc de la Tête d'Or - Compagnie Carabosse (6%, 190 Votes)
Plus de légèreté, d'humour (comme aux Célestins) ? (5%, 185 Votes)
Place de la République - La mer (5%, 173 Votes)
Plus de spectacle vivant (comme au Parc de la Tête d'Or) ? (5%, 171 Votes)
En 2011, vous souhaiteriez encore plus d'animations dans la ville ? (5%, 169 Votes)
Place des Jacobins - Le phare (5%, 165 Votes)
Cathédrale Saint-Jean - Le chevet (4%, 148 Votes)
Hôtel-Dieu - Tableaux rétrospectifs de la vie de l’Hôtel-Dieu (4%, 146 Votes)
Jardin du Musée (4%, 145 Votes)
La gare Saint-Paul - Les fenêtres (3%, 100 Votes)
Croix-Rousse - Le gros caillou, l'oeuf (2%, 84 Votes)
Plus de narrations, d'histoires, de récits (comme à la Gare Saint Paul) ? (2%, 84 Votes)
Plus d'interactivité entre les animations et le public ? (2%, 73 Votes)
Cathédrale Saint-Jean - La cour avec les éléves de l'ENSSAT et de la FAIAR (1%, 44 Votes)
Pentes Croix-Rousse - Montée de la Grande Côte (jeu vidéo) (1%, 42 Votes)
Pentes Croix-Rousse - Passage Thiaffait, la méduse) (1%, 40 Votes)
Saint-Georges - Sculptures (1%, 17 Votes)
Croix-Rousse - Place des Tapis (0%, 16 Votes)
Place Gailleton - Les cocons (0%, 15 Votes)
Total Voters: 654
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